[RP] La Fortune des Guerriers et Mercenaires

[La Conteuse]

Il fait demi-tour vers ce qui ressemblait à un salon, dans lequel il est tombé, il laisse des traces au sol, il tape sur les murs en cherchant un écho.

Tout est brûlé, ssss'il y avait une trappe on la verrait...

[Madrax]

"Pas nésssesssairement, il ne faut pas oublier qu'un sorsssier vivait isssi. Il a put cacher des choses." Il joint ses efforts à ceux de son compatriote. Si le salon possède un grand âtre où allumer un feu, il commence par là, en tâtonnant principalement. Peut-être un élément du décor est-il amovible. Autrement il cherche des échos sur le restant des murs.

[La Conteuse]

Il n'y a pas d'écho dans cette salle. A part celui du côté du hall d'entrée, les murs sonnent pleins, ils sont solides encore même s'ils ont souffert.

[Madrax]

"Pas isssi. Retournons au hall d'entrée et reprenons." Il prend les devants et, une fois de retour à la salle désignée, reprend assidument ses recherches. Tout mur creux est suspect, mais avant de chercher à le défoncer, il préfère regarder s'il n'y a pas un levier dérobé.

[La Conteuse]

Il n'y a dans le hall qu'un écho creux au niveau du sol près des escaliers à gauche de la porte de la cuisine. Son camarade reste calme et le suit en l'observant.

[Madrax]

Lui même n'exulte pas après avoir trouvé le potentiel passage secret. Il examine rapidement les différentes options qui s'ouvrent à lui afin de leur permettre de descendre. Défoncer le sol ? Lent, fatiguant et ni l'un ni l'autre ne semble se balader avec une masse ou un marteau. La magie ? Il se rappelle fort bien qu'il est interdit de pratique et il en va de même pour son collègue. Utiliser son don ? Il ignore si cela marcherait. Jusqu'ici, il a toujours utilisé le don de cendre sur des créatures vivantes. De la pierre en revanche ? Il pourrait bien ne pas fonctionner dessus.

Rapidement, il observe le hall, à la recherche d'un élément de décoration quelconque. Une torchère ou un bougeoir, même dégradé, sur un mur, un piédestal qui ne soutient rien...Il exclut les pierres à enfoncer, il les aurait trouvé sur les murs, il pense. Des rigoles d'irrigation suspectes ? Alors qu'il réfléchit aux différentes possibilités, il questionne un peu son compagnon :

"Qu'est-ssse qui t'a pousssé à devenir mersssenaire ?"

[La Conteuse]

La plupart du temps csss'est facsssile et çsssa paie bien. Répond-il en haussant les épaules.

Y a un courant d'air qui vient du bas du mur, derrière c'est la cheminée de la cuisine, ça sent le moisi comme dans les grottes. Aucun support anormal, cependant il y a effectivement un jour en bas du mur, à peine visible, le même en haut du mur, si le passage est là il est étroit.

[Madrax]

"Oui, je vois le jour, là et là.

Sss'est vrai que le travail ssstandard à Elwen est fasssile. J'en ai accomplit ausssi avant de rentrer à Raukarth. Sssa m'aura bien ssservi." Il teste la résistance du mur en poussant un peu dessus.

"Sssi tu veux regarder du coté de la cheminée sssi tu as quelque chose. Autrement on esssaiera de soulever ici."

[La Conteuse]

En appuyant sur le mur il le sent s'enfoncer d'une dizaine de centimètres. il y a un espace derrière c'est sombre et l'odeur de moisi vient de là. Le compagnon est passé dans la cuisine et informe qu'il ne voit rien dans la cheminée.

[Madrax]

"Laissse, j'ai trouvé. Reviens par isssi, et est-ssse que tu as des torches ou quelque chose pour éclairer notre chemin ?" Dans le cas contraire, il aura peut-être quelque chose de son coté à lui. Pendant que le mercenaire refait le tour, le capitaine essaie de voir s'il peut bouger le mur vers la gauche ou la droite, ou bien pousser un peu plus. Pour libérer entièrement la voie.